Toujours en mouvement
Suite à son diagnostic en 1981 à seulement 33 ans, l’athlète Joy Foord s’est débattue avec différentes prothèses mammaires avant de découvrir Contact.
Joy Foord est la preuve vivante que nous devons revoir au plus vite les idées préconçues que l’on a sur l’âge. En plus de faire beaucoup plus jeune que ses 63 printemps, sa passion pour la course, la natation et le cyclisme l'aident selon toute vraisemblance à garder bonne mine et une silhouette fine. Joy a toujours aimé le sport : « Je n’ai jamais su rester en place ! Je suis toujours en mouvement et, en fait, ça s’est accentué avec l’âge, » nous explique-t-elle. « J’aime courir, faire du vélo et promener mes chiens, mais ça n’a pas toujours été évident avec une prothèse mammaire ordinaire. Avant, j’enfilais un grand T-shirt par-dessus mon soutien-gorge de sport afin que personne ne puisse voir ma prothèse. Et au tout début, à l’époque où je n’avais pas encore de prothèse en silicone, je devais l’enlever de mon soutien-gorge après mon footing, la laver et attendre qu’elle soit sèche avant de pouvoir la remettre. »
Durant les 30 années qui ont suivi son diagnostic, Joy a assisté à une révolution dans le développement des prothèses : « Je suis rentrée de l’hôpital avec un petit coussinet rembourré de coton qui a ensuite été remplacé par une prothèse en mousse. Le principal problème de ces prothèses-là, c'est qu’elles avaient toutes la même forme quelle que soit la poitrine de l’utilisatrice et, vu qu’elles n’étaient pas souples comme les prothèses actuelles en silicone, elles n’évoluaient pas avec le corps. Je ne pouvais pas porter de vêtements trop moulants car ça me faisait des seins asymétriques. De plus, elles avaient tendance à remonter dans mon soutien-gorge - elles étaient trop légères pour me donner l’impression de faire partie de mon corps - et j’avais toujours la hantise qu’elles s’échappent. En fait, je me souviens d’en avoir attaché une à mon soutien-gorge à l’aide d’épingles à nourrice placées en haut et en bas pour m’assurer qu’elle ne se fasse pas la malle ! La première fois que je suis retournée au travail suivant ma mastectomie, j’ai demandé à une amie de me dire honnêtement ce qu’elle en pensait, et elle m’a répondu que la prothèse dépassait un peu sur le devant et qu’elle ne contournait pas ma cage thoracique comme le ferait un vrai sein. Ça m’a un peu traumatisée. J’aurais mieux fait de ne rien lui demander ! »
Lorsque les prothèses en silicone ont enfin fait leur apparition au début des années 1980, Joy les a trouvées beaucoup plus faciles à porter : « Comme elles étaient plus lourdes et plus naturelles d’aspect, elles représentaient une nette amélioration, » raconte-t-elle. Cependant, la prothèse en silicone n’était pas vraiment adaptée à son mode de vie ultra-dynamique : « Le problème, quand on porte une prothèse dans un soutien-gorge, c'est qu’elle s’éloigne du corps dès qu’on se penche en avant. Ça posait un vrai problème quand je faisais du vélo car je me penchais sur le guidon. Et quand je sortais les chiens, il se produisait la même chose quand je me penchais pour leur lancer la balle. » Joy a donc adapté au mieux sa pratique du sport et ses vêtements. Jusqu’au jour où, lors d’une visite récente à l’hôpital, son infirmière spécialiste du sein lui a conseillé d’essayer une prothèse Contact.
Tout simplement formidable
« Quand je lui ai dit que je faisais du footing, elle m’a expliqué que la prothèse Contact se fixait à même le corps. Je l’ai tout de suite essayée, et j’ai été conquise. Elle était tout simplement formidable ! » Joy nourrit un enthousiasme sans bornes pour la prothèse Contact. « Elle m’a changé la vie. Je m’entraîne régulièrement et je cours environ 13 kilomètres. Ça me donne chaud et je transpire : quand je rentre à la maison, j’ai besoin d’une bonne douche, mais la prothèse adhère toujours à ma peau. » N’était-elle pas inquiète que sa prothèse se décolle en courant ? « On a toujours des doutes, mais vu comme elle tenait bien quand je ne courais pas, ça m’a donné le courage d’essayer. Et je n’y ai jamais repensé depuis ! »
Joy a découvert que sa prothèse Contact était encore plus performante en été :
« Je trouve qu’elle chauffe beaucoup moins que les autres prothèses car elle donne l’impression de faire partie de mon corps. J’adore porter des petits hauts en été et la prothèse Contact est parfaite avec n’importe quel décolleté. Quand on s’achète des vêtements d'été, on peut choisir quelque chose de joli sans même avoir à y réfléchir. Je vais bientôt aller en vacances en Chypre, et je sais que je peux porter un petit débardeur à bretelles ultra-fines : ça me donne l’impression d’être normale. »
« Je suis même contente de me regarder dans le miroir. C'est la première fois que ça ne me dérange pas de me regarder depuis mon opération il y a si longtemps. Avant, je ne me reconnaissais pas. » Depuis qu’elle a découvert la prothèse Contact, Joy a une perception tellement positive de son corps qu’elle ne ressent plus le besoin de se dissimuler sous plusieurs épaisseurs en hiver. Dorénavant, elle met des pulls moulants sans se poser de questions. Par ailleurs, si l’occasion se présentait, elle se sentirait parfaitement à l'aise dans une robe de soirée sexy : « J’en choisirais même une qui un décolleté. La prothèse Contact me donne cette assurance-là. » Elle est également ravie de la longévité de sa prothèse Contact : « Je la nettoie tous les jours et je la remets dans sa boîte la nuit. J’ai acheté ma prothèse actuelle en 2009 et elle est toujours en parfait état. »
Une différence de taille
Au fil des années, Joy a récolté beaucoup d’argent pour diverses associations de lutte contre le cancer. Ayant participé pour la première fois à la course Race for Life en mai 2007, cet événement est devenu depuis un rendez-vous annuel. Elle court aussi parfois avec sa petite-fille de 12 ans, Elise, et toutes deux ont participé à la course Santa Mile l’année dernière à Noël au profit d’un hospice pour enfants. Joy est reconnaissante que la course à pied l’ait menée à une découverte précieuse : « C'est grâce à ma passion pour le sport que j’ai découvert les prothèses Contact, et celles-ci ont métamorphosé ma vie. Porter une prothèse adaptée à votre mode de vie est aussi important que, par exemple, acheter des bonnes chaussures de running quand on parcourt autant de kilomètres que moi, afin de protéger les genoux et les chevilles. Avoir un équipement adapté aux activités qu’on fait, ça change tout. »
Recommanderait-elle la prothèse Contact aux autres femmes ?
« Absolument ! Les soutiens-gorge à poches permettant d’accueillir les prothèses classiques sont formidables, et je connais des femmes qui ne se fient pas aux prothèses auto-adhérentes. Mais si vous essayez, vous verrez, vous serez conquise. On est toujours prompts à critiquer et à se plaindre des choses quand elles ne vont pas. Mais quand on découvre quelque chose de différent qui représente une nette amélioration par rapport à tout ce qu’on a connu jusque-là, je pense qu’il faut le dire. Je ne peux que dire du bien de la prothèse Contact. Et en plus, elle a fait des miracles en ce qui concerne ma confiance en moi. Quand j’ai dit à une amie que j’allais faire cette interview, elle était stupéfaite. Elle m’a dit : « Mais je croyais que tu avais eu une reconstruction ! » Ce genre de remarque montre qu’en plus d’être efficace, la prothèse Contact est également performante d’un point de vue esthétique »
En quoi la prothèse Contact est-elle si spéciale ?
Si vous êtes très active ou que vous aimez l’idée d’une prothèse donnant l’impression de faire partie de vous, la prothèse Contact pourrait bien être ce que vous recherchez. Grâce à sa face interne adhérente, cette formidable prothèse se fixe directement à la paroi thoracique. Si vous avez déjà porté des bas auto-fixants ou un soutien-gorge sans bretelles, alors vous connaissez le type d’adhésif utilisé dans la prothèse Contact : très doux pour la peau, il associe une forte adhérence à un retrait facile, et il s’est imposé dans l’industrie de la mode il y a des années.
Caractéristiques de la prothèse Contact :
- Adhère directement à la peau comme si elle faisait partie de vous.
- Vous accompagne naturellement dans chacun de vos mouvements et ne se décolle pas quand vous vous penchez en avant
- Vous procure une telle sensation de sécurité que vous en oubliez que vous portez une prothèse.
- Répartit le poids plus équitablement, permettant ainsi une réduction des tensions au niveau des épaules et du dos.
- Présente une surface adhérente sûre qui respecte aussi la peau.
- Vous offre un plus grand choix de lingerie et de styles vestimentaires.